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Par OnlyHuman le 16 Novembre 2013 à 10:38
Cette Section à pour but de regrouper les écrits qui n'appartienne pas à d'autre groupe.
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Par OnlyHuman le 16 Novembre 2013 à 10:39
Faux Sentiment
Devenir aveugle et sourd
Ne plus entendre ni ne voir
Est-ce ce qu’il faut pour y croire
Au sentiment d’amour ?
Qu’il soit familial, amical
amoureux ou passionné
A-t-il au moins existé
Ce sentiment idéal ?
L’absence d’amour engendre la haine
L’absence de haine donne la paix
Parfois vaut arrêter de rêver
La paix n’est pas sereine
L’amour réciproque est-il vrai
Ou une illusion supplémentaire
Qu’on me ramène en enfer
Si je ne me suis pas trompé
Je ne vois et n’entends plus
Est-ce une vraie solution
Ou un simple abandon ?
Une liberté dans l’absolu.PS : C'est un poéme que j'ai écrit un soir, on dit que le vécu donne de l'inspiration, en voilà un bel exemple. Il n'était pas prévu que je post avant 2 semaine comme d'habitude mais l'envie est plus forte que la patience. Cele est écrit sur un coup de tête, donc ce sera pas exceptionnel je pense mais je voulais vous le faire partager malgré cela ^^'
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Par OnlyHuman le 16 Novembre 2013 à 10:55
Un jour je serai conquérir ton coeur
Je me battrai sans répit
Je ferai tout pour avoir le bonheur
De partager ta vie
J'affronterai la terre entière
gardant toujours l'espoir
Qu'on assemble nos deux univers
Qu'on vive la même histoire
Mon amour
C'est illusoire
Je sais qu'il est trop tard
Mon amour
Rien ne me stoppera
Dans l'idée d'être avec toi
Mon amour
Je sais qu'il n'est pas sage
De se fier aux mirages
Mais je garde cette image
De nous deux
Je t'aime plus que tout
Je t'aime plus que tout
Mon amour !Ps : Cette chanson ne s'adresse à personne en particulier ^^
C'est juste que je l'avais en tête sans raison depuis plusieurs jours, alors plutôt qu'être seul à l'entendre, je la partage =p
Cela est basé sur des souvenirs d'enfance, donc désolé si je suis pas très fidèle ^_^
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Par OnlyHuman le 17 Février 2014 à 21:29
La femme au demi-visage
Tom la trouvait ravissante, il ne savait dire pourquoi ni de quelle manière, il savait juste qu’en la voyant il ne pouvait que se sentir bien. Pourtant la jeune femme qu’observait Tom paraissait bien étrange aux yeux de nombreuses personnes, certains étaient même effrayés en la voyant. La demoiselle qui nourrissait le bonheur de Tom avait peint la moitié de son visage en blanc, son coté droit, d’une façon parfaitement symétrique. De plus sur la partie droite de sa chevelure noire, ressortait des mèches blanches, Tom savait que cela était particulier mais il adorait cela. Sans pouvoir déterminer pourquoi, il savait que cette femme était magnifique grâce à cela. D’ailleurs c’est l’histoire que cette femme lui avait racontée, elle avait maquillé son visage ainsi afin de se sentir mieux dans sa peau. Tom était amoureux de la jeune femme, et cet amour était réciproque, ils s’entendaient parfaitement bien, bien que leur union soit mal vu. En effet les connaissances de Tom ne cessaient de vouloir l’éloigner de la demoiselle, lui disant qu’elle n’était pas normale et qu’elle devait surement être folle pour oser se montrer ainsi mais Tom n’avait que faire de toutes ses paroles, il était heureux et c’est tout ce qui comptait pour lui. C’est sur ce sentiment de bonheur que Tom se réveilla, dans son appart’, seul. Il avait la sensation que son bonheur venait d’être arraché bien qu’il était conscient que cela n’était au final qu’un rêve. Vidé de sa joie nocturne, Tom se leva malgré tout, surmontant son envie de plonger dans un profond sommeil. Bien qu’au final son rêve lui paraisse absurde, en ce moment il aurait plus que jamais être en compagnie de cet étrange mais merveilleuse femme, qu’était cette femme au demi-visage.
Je classe ce petit récit dans le divers car je ne considère pas que ce soit une nouvelle, pour être honnête ça raconte un rêve que j'ai fait. J'ai réellement rêvé que j'étais amoureux et en couple d'une femme au visage à demi peint en blanc, à mon réveil j'ai trouvait cela étrange mais je suis dit qu'après tout, l'amour est si fou en lui-même que tout peut paraître normal à ses cotés ^_^
Only Human.
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Par OnlyHuman le 19 Avril 2014 à 10:30
La vie d’un homme qui ne vit pas
Didier se leva à la même heure que tous les autres jours, aussi fatigué que tous les autres jours. Il se prépara rapidement et sortit de sa demeure afin de rejoindre les autres qui, comme lui, se trainaient jusqu’à leurs tâches. Tous étaient enfermés dans cette zone, devant travailler pendant de longues heures sans en avoir le choix. S’ils ne travaillaient pas suffisamment, Didier et les autres n’avaient alors plus le droit de vivre. Ils devaient mériter le droit de vivre en usant leur santé et leur temps afin de satisfaire ceux qui les dirige. Didier se dit que s’il travaillait pour pouvoir vivre et que ça vie se résumait à cela, il était alors piégé dans un cercle infernal. Après était-ce vraiment une vie…quel intérêt y avait-il à rester en vie pour subir ça. Il n’était pas heureux et ne cessait de se demander si un jour il parviendrait à le devenir. Ce qui le choquait le plus, c’est que bien que lui ne cessait de remettre sa vie en question, les autres semblaient s’en contenter, comme s’il était normal de subir ça jour après jour. Après tout, peut-être bien, peut-être que nous vivions uniquement pour travailler, que nous somme condamnés à subir cela jour après jour si on veut avoir la chance que peut-être, un jour, ça s’arrête. Ce n’était pas encourageant pour Didier, qui en avait marre de toute cette folie, il n’avait qu’une envie c’est s’enfuir loin, seul et ne plus devoir suivre ce quotidien invivable. C’est vrai qu’il pourrait mais que deviendrait-il alors, perdu dans la nature, sans nourriture, sans rien, il ne tiendrait pas trois jours. Il était bel et bien condamné à subir cela, jour après jour, dans l’espoir qu’un jour ça s’arrête. Après une longue journée de travail, une autre journée de sa vie gâchée, Didier rentra chez lui et se prépara déjà pour le lendemain, avant de diner et d’aller se coucher. Le jour qui suit allait être le même qu’aujourd’hui et le prochain aussi et le suivant encore et les autres tout autant. Didier s’endormit, fatigué de la journée qu’il venait d’avoir, condamné à subir une vie basique d’employé.
Un récit qui n'as aucun rapport avec Pâques ! Je le place dans les divers car c'est pas vraiment un récit, c'est plus l'idée que je me fais du travail comme on l'entends souvent à travers un récit et j'espère que cela vous donnera l'occasion de réfléchir à ,vous comment vous voyez ça. En tout cas, bonne fête de Pâques à tous !
Only Human.
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Par OnlyHuman le 16 Mai 2014 à 10:21
L'esprit libre
Cédric discutait tranquillement avec son amie Camille, devant leur lycée, les cours venaient juste de finir. Les deux jeunes discutèrent un petit moment avant de partir chacun de leur coté, avant de tourner le dos à Cédric, Camille lança un « à plus tard » accompagné d’un sourire en coin et d’un clin d’œil significatif. Cédric savait bien à quoi la jeune demoiselle faisait allusion et il avait hâte lui aussi. À peine fut-il rentré chez lui qu’il salua rapidement ses parents et monta dans sa chambre. Il verrouilla la porte afin d’être sûr de ne pas être dérangé, puis s’allongea dans son lit et ferma les yeux.
Il avait désormais l’habitude de faire ça, c’était devenu très facilement pour lui. Il se força à faire le vide dans sa tête, en ne pensant plus à rien même au fait de ne pas penser, c’était difficile mais avec l’entrainement qu’il s’était imposé, il y parvenait en moins de cinq minutes désormais. D’un coup il ne sentait plus son corps, mieux que ça, il n’avait plus de corps. Il était devenu immatériel et pourtant il existait. Sans avoir d’œil, il voyait, d’ailleurs il se voyait allonger dans son lit, inerte, il avait réussi à sortir son esprit de son corps. Il fila et voyagea à travers la région, passant au-dessus des routes, des champs et des forêts, il connaissait sa destination. Il n’avait jamais su expliquer comment tout cela était possible mais ça l’était et il se contentait de cette possibilité magnifique. Il s’arrêta au-dessus d’une colline, là il sentit la présence d’un autre esprit, c’était celui de Camille, bien qu’il n’y ait aucun visage ou forme à voir, il sentait qu’elle souriait, lui aussi d’ailleurs. Ils s’élevèrent parmi les nuages, et profitèrent du coucher de soleil qui donnait une magnifique nuance de rouge et d’orange au ciel, même le sol se laisser ambiancer par cette lumière. Les deux esprits restèrent là à observer le paysage, puis chacun repartit rejoindre son corps.
Cédric, redevenu physique, se leva sur ses jambes avec un sentiment de bien-être intense. Il n’avait qu’une hâte, recommencer le lendemain, rien d’autre monde n’était plus génial que d’être libre ainsi.
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Par OnlyHuman le 21 Mai 2014 à 10:05
La boulangère Nocturne
27 juillet 1815
Cela fait maintenant plusieurs nuits que j’aperçois Dame Frickens, la boulangère de notre village, passer devant chez moi et rejoindre le cimetière. Elle est toujours vêtue d’une longue cape noire à capuche et se presse de rejoindre le cimetière. Pourtant elle vit seule dans le village et reste à l’écart des habitants. J’ai l’intime conviction que cela ai un rapport avec la mort récente du comte, il faudra que je tente de lui parlait d’ici peu. Tous les villageois soupçonnaient notre comte d’avoir une maitresse au vu des nombreuses balades nocturnes qu’il se permettait, peut-être que notre boulangère n’est pas innocente à cette histoire.
28 juillet 1815Il semblerait que je ne sois pas le seul à avoir remarqué les sorties de nuit de notre boulangère. J’ai entendu des racontars lancer la rumeur que Dame Frickens est un vampire. Il est vrai qu’elle sort pratiquement jamais le jour mais je ne crois pas à ces absurdités. Certaines personnes n’ont même plus le courage d’aller chercher leur pain. La peur fait faire n’importe quoi aux gens, espérons que la principale concernée ne soit pas affectée par ces histoires.
29 juillet 1815
La situation de panique des villageois ne fait qu’empirer, voilà que maintenant ils veulent faire passer Dame Frickens au bûcher. La malheureuse s’est enfuie du village avant qu’ils ne puissent l’attraper. On a voulu me forcer à participer à sa traque mais j’ai refusé et cela n’a pas plu, si ça continue on va également me faire passer au bûcher. Cette nuit ce sont des hommes munis de torches et de fourche qui se promène dans le village. Il faut que je retrouve Dame Frickens cette situation ne peut durer.
30 juillet 1815
Cette nuit fut l’une de ces nuits que je n’oublierais pas. J’ai réussi à retrouver Dame Frickens caché dans la forêt non loin de notre village. Mes soupçons étaient corrects, elle était bien la maitresse de notre ancien comte, elle m’a avoué qu’une véritable passion s’était formée entre eux. Alors que nous étions dans la forêt nous avions réfléchi à un moyen de retourner au village sans finir au bûcher, vu que j’aidais celle que le village pourchassé j’allais probablement être brûlé moi aus
[La suite du récit appartient désormais à l'état, ceci dû à notre taxe sur son travail. Merci de votre compréhension]
http://olivierperu.blogspot.fr/2014/05/retraite-complementaire-8-de-revenus-en.html
Et oui bientôt on ne pourra plus vivre avec le métier que l'on désire, l'état décide pour nous. A peine comme si on considère notre activité comme un métier. Dans un monde où l'argent est plus important que la culture ou même la vie elle-même dans certains cas, faut pas s'attendre à des miracles. Mis à part subir, en espérant des jours meilleurs, on ne peut faire grand chose à moins d'aller dans l’extrême....enfin bref, c'était un coup de gueule.
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Par OnlyHuman le 4 Juin 2014 à 10:12
Non, je refuse…
Vous dites que je ne suis pas normal ?
Qu’est-ce que la normalité
Dans ce monde si cinglé
Ce monde qui n’est pas banal ?C’est de justice que vous parlez désormais ?
Allez dire ça à un orphelin
À une personne qui n’a rien
À un handicapé qui ne peut marcherVous hurlez tous pareils tous égaux mon ami
Bien que l’on ait nos différences
Dans nos cultures, dans nos croyances
Dans nos opinions et dans toutes nos viesMaintenant vous riez de bonne voix
Ce que je décris, vous le comprenez ?
Est-ce qu’au moins, vous m’écoutez ?
Cessez de vous moquer de moi !Vous êtes un homme infernal !
Les problèmes vous font rire !
Vous m’obligez à le dire !
Vous n’êtes pas normal !Voilà que je me contredis !
Et vous riez de bon cœur !
Riez de votre malheur !
Riez de ce monde pourri !C’est assez je n’en peux plus !
Je refuse de le supporter
Je préfère m’en aller !
Félicitation vous m’avez vaincu
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Par OnlyHuman le 30 Juin 2014 à 13:30
Douce Frustration
Benoit était tranquillement assis dans la cour de son lycée, il regardait discrètement une jeune fille dont il était amoureux. Il n’avait jamais connu la vie de couple, malgré ses dix-huit ans et cela le tracassait au plus haut point. C’est alors que son ami Pierre arriva, ce dernier salua Benoit et lui dit joyeusement :
« Mec je suis de nouveau en couple !»
Benoit senti comme un pincement au cœur, Pierre y parvenait si facilement, au point que Benoit se demander s’il était destiné à ne pas vivre en couple. Benoit répondit simplement « ah cool » et en espérer que la conversation s’arrêterait là. Malheureusement Pierre ajouta :
« Je vais te raconter comment ça s’est passé, ce n’est pas une fille du lycée, je l’ai rencontré dans un… »
Voilà, c’était parti pour un long discours qui allait décrire ce que Benoit rêvait depuis toujours et qu’il n’avait jamais connu. En ce moment, bien que Pierre était son ami, Benoit n’avait qu’une envie c’est qu’il se taise, qu’il arrête de parler et de raconter cela comme si c’était banal. Pierre continuait de raconter son épopée romantique et Benoit avait envie de lui donner une grande baffe, de lui planter la tête dans le sol, qu’il se taise bon sang. Benoit se sentait horriblement mal d’un coup, Pierre ne semblait pas avoir conscience de la magnifique chance qu’il avait, il semblait prendre sa à la légère, normal c’était déjà sa cinquième relation, il devait être habitué. Pourtant Pierre savait que Benoit n’avait jamais connu l’amour, alors pourquoi se sentait-il obliger de lui dire tout ça, ça le faisait souffrir. Pierre finit par arrêter de parler mais Benoit se sentait déjà super mal, il ne savait pas si c’était de la jalousie ou si c’était autre chose mais en cet instant il haïssait Pierre, cet idiot qui avait le droit à ce que Benoit n’avait pas. Benoit respira un grand coup pour se calmer c’est alors que Pierre ajouta :
« Bah ça n’a pas l’air de te faire plaisir que je sois en couple… »
Lui faire plaisir ? Lui faire PLAISIR ? Lui faire plaisir que son ami enchaînait les aventures amoureuses alors que lui restait éternellement célibataire, lui faire plaisir que cet ami se vantait presque de sortir avec des filles aussi facilement là où Benoit devait faire des efforts rien que pour leur parler, lui faire plaisir que maintenant il en parlerait tout les jours faisant que Benoit se sentirai mal tout les jours. Ça en était trop, Benoit donna à un grand coup de poing à Pierre, hurlant et l’insultant autant que possible avant de s’éloigner…du moins il imagina faire tout ça. En réalité, bien qu’il souffrît, bien qu’il était en colère, Benoit se força à sourire et répondit :
« Bah si pourquoi ? Il n’y a pas de raison…. »
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Par OnlyHuman le 16 Juillet 2014 à 13:26
De retour parmi les vivants
Michael était heureux d’être de nouveau chez lui, il avait l’impression que cela faisait longtemps qu’il n’était plus resté dans cette maison qu’il connaissait si bien. En vérité, il venait juste d’enchaîner cinq gros jours de boulot, des grosses journées qui ne lui avaient pas permis d’être auprès de sa famille. La fatigue avait accompagné sa mauvaise humeur qui était due au fait que son travail lui bousiller le moral, jour après jour. Il rentra dans le couloir illuminé par le soleil, il prit une grande inspiration et déposa son sac sur le carrelage. Il en aurait plus besoin pour le moment, ce job infernal était terminé à jamais, cela lui offrait un énorme soulagement même si c’était également une mauvaise nouvelle. Il alla saluer sa famille, puis se fit couler un bain.
Allongé dans l’eau chaude, il ferma les yeux et ne pensa plus à rien, il avait l’impression de se reposer comme un roi et cela lui faisait un grand bien. Ce soir-là il dina avec sa famille, ce qu’il n’avait plus fait depuis plusieurs jours. Cela aurait paru banal aux yeux de certain mais pour lui c’était devenu quelque chose de merveilleux. Il reprit peu à peu des activités qu’il n’avait plus faites depuis longtemps, discuter avec des personnes qui lui étaient chère à son cœur et faire des choses qu’il aime.
Ce soir il s’endormit rapidement, pour une fois il n’avait pas à se soucier du lendemain, ça changer de l’insomnie dû au stress qu’il avait subi ces dernières nuits. Il rêva, de tout et de rien, au petit matin il ouvrit les yeux et vit le soleil qui perçait par sa fenêtre, ça allait être une bonne journée. Il était huit heures mais il ne se leva pas. Aujourd’hui il allait pouvoir dormir et profiter de son temps, il resta dans son lit jusqu’à dix heures.
Une fois levé, il but un café, pour une fois il avait quelque chose dans l’estomac au matin. Il alla dehors et se laissa imprégner de la lumière du soleil, tout en caressant son chat qu’il avait plaisir de revoir. Il mit un peu de musique, puis essuya et rangea la vaisselle, étrangement cela lui avait manqué, c’était devenu son petit plaisir du matin auquel il n’avait plus eu le droit. Rien qu’à faire cela il retrouva un sentiment de bonheur qu’il avait perdu, il se sentait de nouveau vivre.
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