• Chapitre II

     

    La nuit était tombée, la lune et les étoiles donnaient au ciel une couleur bleutée. La pleine lune éclairée le paysage environnement offrant à la nuit son calme et sa douceur. Jordan était accroupi, caché parmi des buissons et observait un petit camp. Plusieurs tentes étaient dressées et quelques personnes étaient assises autour d’un feu de camp tandis que d’autres marchaient aux alentours. Jordan observé le camp tout en analysant la situation, trois hommes armés patrouillaient autour du camp par prudence. Il entendit un bruit proche de lui, Jordan s’accroupit plus sur lui-même et fit en sorte de ne plus faire de bruit. Il fit quelque chose bougé à quelques mètres de lui et la chose lui fonça dessus en aboyant. Le chien lui avait sautait dessus et commençait déjà à aboyer pour avertir ses maitres, un jeune homme arrivait vers Jordan en courant le fusil à la main. Arrivé à sa hauteur il le pointa de son arme prêt à tirer avant de lui dire :
    « Qu’est-ce tu fous là ?! »
    L’homme aida Jordan à se relever en disant au chien de s’éloigner, Jordan retira la terre qu’il avait sur lui tout en s’expliqua :
    « J’ai plus le droit de venir voir comment vous allez ?
    -Évite de le faire en nous espionnant
    -Je voulais être sûr que c’était vous, tu sais qu’on n’est jamais assez prudent Marc »
    Le dénommé Marc acquiesça à ces propos, les deux jeunes hommes se dirigèrent vers le camp, suivis par le chien qui s’était calmé. Jordan salua les autres réfugiés du camp, il y avait une dizaine de personnes, toutes les personnes présentes ici étaient des anciens villageois que connaissait Jordan. Jordan s’assit aux cotés d’une jeune fille, Marc était assis en face et Jordan lui demanda :
    « Je n’ai pas le souvenir que la dernière fois vous aviez un chien
    -Ce n’est pas le nôtre, il appartient à Benoît »
    Il avait désigné l’un des hommes qui patrouillait autour du camp
    « Tu veux quelque chose à boire ?
    -Non, gardez ce que vous avez pour vous, les provisions sont rares pas besoin de vous les prendre
    -Allons ce n’est pas pour une bière et je te dois bien ça.
    -Ce n’est pas moi qui t’ai sauvé mais mon père
    -Alors bois en son nom, c’est du pareil au même. Lucie tu veux bien lui donner une canette ? »
    La jeune fille assise à coté de Jordan se leva pour aller dans l’une des tentes et revint avec la canette qu’elle donna à Jordan en souriant :
    « Voilà monsieur l’espion »
    Jordan ne plus s’empêcher de sourire, il observa la jeune fille dont le visage était légèrement recouvert de poussière. Le jeune homme lui demanda :
    « Comment vas-tu ma douce ?
    -Je vais bien, oublies pas que j’ai mon grand frère qui me surveille 
    -Oui oui, je vous ai à l’œil vous deux. »
    Marc accompagna ses paroles d’un clin d’œil avant de trinquer avec Jordan et de boire. Jordan observait tranquillement les flammes tout en tenant la main de Lucie.

    Ils ne se considéraient pas totalement comme en couple mais juste amoureux l’un de l’autre, Marc s’inquiéta :
    « Et vous ça va ? Tu as l’air pensif ?
    -Ça peut aller oui. C’est juste que…ma sœur m’inquiète. Elle a huit ans et avec quoi elle est contente de jouer ? Avec ça ! »
    Jordan avait sorti le poignard que lui avait donné Émilie pour le montrer aux deux autres, Marc rassura Jordan :
    « Malheureusement c’est comme ça pour elle. Pour elle la vie est une guerre et rien d’autre…
    -Quand même ! À huit ans ?
    -C’est dur à comprendre je l’imagine bien. »
    Lucie serra la main de Jordan dans la sienne pour le réconforter, l’un des réfugiés qui dormait émis un grognement, Jordan observa le lac qui se trouvait à quelques mètres, le ciel étoilé s’y reflétait parfaitement. Il dit pensif :
    « Ce lac est un point plutôt stratégique »
    Marc proposa alors à Jordan :
    « Si vous voulez, toi et ta famille peuvent venir ici, cela ne dérangera personne. »
    Jordan réfléchit quelques secondes avant de répondre :
    « C’est gentil de proposer, je vais devoir y réfléchir et en parler avec les autres
    -Oui je comprends cela, c’est normal »
    Lucie se leva alors et tira Jordan pour qu’il la suive en l’invitant :
    « Viens on va faire un petit tour autour du lac »
    Jordan finit sa canette et se leva pour aller se promener, Marc dit avec le sourire tout en reprenant sa ronde de garde :
    « Je vous ai l’œil faites attention »
    Jordan et Lucie marchèrent tranquillement en silence autour du lac, profitant d’être rien qu’à deux. Ces moments de calme et de liberté étaient si rares que Jordan en profitait pleinement.

    Ils s’arrêtèrent tous deux sous un grand chêne et s’embrassèrent. Ils s’allongèrent l’un à coté de l’autre dans l’herbe en se regardant dans les yeux, Jordan savait que ce n’était pas le moment de tomber amoureux mais il ne pouvait pas s’en empêcher. Lucie parla de sa voix douce :
    « Ce serait bien si tu venais ici, on serait tout le temps ensemble 
    -Je sais mais faut que j’y réfléchisse, je ne suis pas seul là-dedans. 
    -Je sais ne t’en fait pas »
    De là où il se trouvait, Jordan pouvait voir le camp de l’autre coté du lac. Il s’approcha de Lucie et la serra dans ses bras, ils s’endormirent tous deux allonger sur l’herbe.

    Jordan se réveilla une vingtaine de minutes plus tard, il avait entendu du bruit dans son sommeil. En se dressant sur lui-même, le camp lui offrait une vue inquiétante. L’une des tentes était en feu, des personnes se tirer dessus au fusil et un corps semblait être à terre. Jordan reconnu la voix de Marc qui hurlait, Lucie qui s’était également réveillé se dépêcha de se lever. Jordan la rattrapa par le bras :
    « Qu’est-ce tu fais ?!
    -Lâche-moi ! Je dois aller aider mon frère !
    -On n’a aucune arme c’est du suicide
    -Lâche-moi ! »
    Lucie donna un coup de pied dans le ventre de Jordan qui lâcha prise malgré lui. Il dut reprendre son souffle pendant quelques secondes avant de poursuivre de nouveau la jeune fille. Elle s’approchait de plus en plus du camp qui était devenu un terrain de guerre. Jordan arrivait à entendre Marc crier :
    « C’est ça cassez-vous bandes d’enflures ! »
    En effet les assaillants semblaient commencer à reculer mais les tirs continuaient. Jordan accéléra sa course et arriva à la hauteur de Lucie quand elle lui tomba dessus. Il la rattrapa avant qu’elle ne tombe à terre et senti quelque chose de chaud sur ses mains, la jeune fille avait une énorme tache de sang au niveau de la poitrine. Lucie ne bougeait plus, Jordan savait qu’elle était morte mais il ne voulait pas l’accepter. Pris de rage il courut vers le Vautour le plus proche, celui-ci lui tournait le dos en prenant la fuite, Jordan avait mal aux côtes, à force de courir mais sa douleur ne lui fit rien. Il sortit le poignard qu’il avait sur lui et parvint à sauter sur l’homme en fuite qui tomba à terre tout en lâchant son arme. Qu’importe le risque qu’il courait, Jordan réclamer une vengeance, une justice sans même prendre le temps de regarder le visage de l’homme il lui planta la lame dans le ventre, puis un second coup, puis un troisième, puis un quatrième. Il hurlait de rage tout en pleurant sa peine tandis qu’il mutilait le corps de l’homme. Jordan continuait de planter l’homme autant qu’il le pouvait pendant plusieurs minutes, il sentit alors une main sur son épaule et s’arrêta :
    « Tu peux arrêter maintenant. »
    Jordan se releva tout en observant l’homme couvert de sang, il voyait son visage, c’était un jeune homme surement du même âge que Jordan. Jordan se releva et observa Marc qui se tenait le ventre, il saignait également, voyant que Jordan observait sa blessure, il le rassura :
    « Ne t’en fais pas, je vais bien. Ils nous sont tombés dessus sans prévenir. Benoît à l’air gravement touché mais Patricia s’y connaît en médecine et elle a dit qu’il pourrait guérir avec du repos. On va devoir trouver un autre endroit. La seule perte qu’on ait eu c’est le chien, ça aurait pu être pire. »
    Jordan n’osait pas parler, il se contentait de suivre Marc qui le ramenait près du feu tout en continuant de parler :
    « Faudrait que tu te laves t’es rempli de sang, je ne savais pas que tu pouvais t’énerver comme ça. »
    Marc disait cela avec le sourire, Jordan n’osait pas dire ce qui était arrivé à Lucie lui-même rester sous le choc. C’est alors que quelqu’un cria :
    « Marc vient voir ! 
    -Vas essuyer le sang que t’as sur toi près du lac, je reviens »
    Jordan savait que Marc se dirigeait vers le corps de sa sœur mais il n’osa pas le prévenir, il entendit alors celui-ci hurlant sa douleur et sa colère, les cris firent place aux pleurs de ce dernier. Jordan s’éloigna et essuya rapidement son visage dans l’eau, il vit dans le lac le corps du chien inerte qui flottait, ce soir deux innocents étaient mort. Il se dit qu’il valait mieux partir et laisser Marc et le camp en paix et rentra chez lui sans rien dire à qui que ce soit.

    Sur le chemin du retour, Jordan pleurait également, il voulait à tout prix évité de penser à ce qu’il venait de vivre et se concentrer sur ses pas. Il dut se cacher d’une voiture de Vautour qui passait par là, il souhaita leur mort mais elle ne vint pas et la voiture disparu dans l’obscurité. Lorsqu’il arriva à sa cachette, le soleil montrait déjà ses premiers rayons. Le jeune homme descendit le couloir silencieusement avant de frapper à la porte, Steve se leva pour lui ouvrir. Jordan ne le salua pas, bien que ce dernier sembler sous le choc. Il alla directement s’allonger, il observait ses sœurs qui dormaient tranquillement. Il ne savait pas encore si oui ou non il leur raconterait ce qui s’est passé. Steve décida de se rendormir, n’ayant rien d’autre à faire et voyant que Jordan resterait silencieux. Jordan lutta longtemps contre le sommeil, ses pensées se mélanger dans sa tête, il ignorait si oui ou non il était coupable de ce qui s’était passé. Cela faisait des semaines que le camp de Marc était là, cela se serait-il passé s’il n’y était pas allé ce soir ? Les larmes coulèrent de nouveau avant qu’il ne finisse par s’endormir, plus par épuisement que par volonté.

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  • De retour parmi les vivants

    Michael était heureux d’être de nouveau chez lui, il avait l’impression que cela faisait longtemps qu’il n’était plus resté dans cette maison qu’il connaissait si bien. En vérité, il venait juste d’enchaîner cinq gros jours de boulot, des grosses journées qui ne lui avaient pas permis d’être auprès de sa famille. La fatigue avait accompagné sa mauvaise humeur qui était due au fait que son travail lui bousiller le moral, jour après jour. Il rentra dans le couloir illuminé par le soleil, il prit une grande inspiration et déposa son sac sur le carrelage. Il en aurait plus besoin pour le moment, ce job infernal était terminé à jamais, cela lui offrait un énorme soulagement même si c’était également une mauvaise nouvelle. Il alla saluer sa famille, puis se fit couler un bain.

    Allongé dans l’eau chaude, il ferma les yeux et ne pensa plus à rien, il avait l’impression de se reposer comme un roi et cela lui faisait un grand bien. Ce soir-là il dina avec sa famille, ce qu’il n’avait plus fait depuis plusieurs jours. Cela aurait paru banal aux yeux de certain mais pour lui c’était devenu quelque chose de merveilleux. Il reprit peu à peu des activités qu’il n’avait plus faites depuis longtemps, discuter avec des personnes qui lui étaient chère à son cœur et faire des choses qu’il aime.

    Ce soir il s’endormit rapidement, pour une fois il n’avait pas à se soucier du lendemain, ça changer de l’insomnie dû au stress qu’il avait subi ces dernières nuits. Il rêva, de tout et de rien, au petit matin il ouvrit les yeux et vit le soleil qui perçait par sa fenêtre, ça allait être une bonne journée. Il était huit heures mais il ne se leva pas. Aujourd’hui il allait pouvoir dormir et profiter de son temps, il resta dans son lit jusqu’à dix heures.

    Une fois levé, il but un café, pour une fois il avait quelque chose dans l’estomac au matin. Il alla dehors et se laissa imprégner de la lumière du soleil, tout en caressant son chat qu’il avait plaisir de revoir. Il mit un peu de musique, puis essuya et rangea la vaisselle, étrangement cela lui avait manqué, c’était devenu son petit plaisir du matin auquel il n’avait plus eu le droit. Rien qu’à faire cela il retrouva un sentiment de bonheur qu’il avait perdu, il se sentait de nouveau vivre.

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  • Le voleur de pommes

     

    Le policier fit entrer l’homme dans la pièce tout en l’observant, il était fort barbu avec de longs cheveux, il avait l’air très fatigué et surtout il était très sale. C’était presque écrit sur son front que l’homme était un sans-abri, le policier ayant conscience de cela décida de commencer son interrogatoire en douceur :
    « Vous êtes monsieur ? »
    Le sans-abri répondit fièrement :
    « Monsieur Mardinier 
    -Très bien, vous êtes accusé de vol, reconnaissez-vous avoir effectivement volé une pomme à un marchand monsieur Mardinier ? »
    Le sans-abri répondit calmement :
    « Si cela ne vous embêtes pas, j’aimerais raconté comment cela c’est réellement passé, monsieur l’agent.
    -Mais allez-y, nous sommes là pour ça. 
    -Bien, déjà je pense que ça se devine facilement mais je suis un sans-abri et il se trouve que ce matin j’étais affamé. J’ai passé la nuit à dormir auprès de l’église comme je le fais souvent donc forcément je suis tombé sur le marché au réveil. Il n’y avait rien qui pouvait réellement constituer un petit déjeuner en dehors d’un fruit, je me suis donc naturellement approché du marchand qui en vendait. Parmi tous les fruits, les pommes étaient ce qui me tentait le plus, je sortis le peu que j’avais sur moi, à savoir cinq centimes et j’ai demandé au marchand si je pouvais lui acheter une pomme. 
    -Vous avez voulu lui acheter une pomme ?
    -Oui, je sais que ce n’est pas beaucoup d’argent mais je me suis dit qu’il pourrait faire un geste de cœur, il m’a dit qu’il ne vendait pas à l’unité, surtout pour ce prix-là et m’as ordonné de partir car j’effrayais les clients. Ce qui n’est pas du tout vrai, une vieille dame observait les pêches non loin de moi, je n’avais aucunement l’air de l’effrayer. J’insistai plus poliment mais le marchand n’a rien voulu savoir, il a même voulu me frapper pour me faire partir.
    -Je vois, si vous voulez bien m’excuser un instant monsieur Mardinier. »


    Le policier sortit de la pièce, il savait que son collègue interrogeait dans la pièce d’à coté. Il se demandait si l’histoire du sans-abri était vraie, ainsi il frappa à la porte et son collègue le laissa entrer. Le policier observa le marchand, un homme imposant, avec une moustache touffue et des cheveux parfaitement coiffés. Il lui posa la question :
    « Est-il vrai que l’homme qui vous a volez à chercher à payer avant ?
    -Payer ?! C’est un bien grand mot, il a voulu me volé de façon plus correcte si vous voulez mon avis. Je ne pouvais pas acceptez cela !
    -Donc il a cherché à vous payer, c’est tout ce que je voulais entendre merci. »
    Le policier sortit de la pièce mais son collègue le rattrapa :
    « Attends c’est quoi cette histoire, le clochard à réellement chercher à payer ?
    -Oui, il avait que cinq centimes sur lui et a demandé au marchand s’il pouvait faire un geste. Il faut que j’essaye de retrouver quelqu’un. Espérons qu’elle y soit encore. »
    Le policier fila au marché, l’arrestation avait eu lieu à peine vingt minutes plus tôt, avec un peu de chance, la vieille dame qui avait vu la scène y serait encore. Lorsqu’il arriva au marché, il se rendit compte qu’il n’avait pas pris le temps de demander à quoi ressembler cette vieille dame. Par chance, il n’eut pas à chercher, celle-ci l’avait sans doute vu arrivé et s’était approché pour demander :
    « Cette histoire s’est arrangée j’espère ?
    -Ah je crois c’est vous que je cherche, avez-vous assisté à ce qui s’est passé entre le sans-abri et le marchand ?
    -Oui oui j’ai tout vu, pour moi c’est le marchand qui devrait aller en prison, il n’a rien voulu savoir !
    -Comment ça ?
    -Le pauvre homme, il a voulu lui acheter une pomme avec le peu qu’il avait, il a même déclaré qu’il était prêt à recevoir la moins présentable si cela arrangeait le marchand. Ce dernier l’a insulté et lui a ordonné de partir, disant qu’il ne vendait ni à l’unité, ni à perte. J’ai demandé au sans-abri s’il voulait que je paye pour lui un kilo au marchand mais il a gentiment refusé, disant qu’il se débrouillerait. Lorsque je l’ai vu volé une pomme, j’ai compris ce qu’il avait eu en tête, j’avoue que j’étais assez contente qu’il agisse ainsi, ce marchand le méritait. 
    -Madame, accepteriez-vous de me suivre et de témoigner ?
    -Pas de soucis jeune homme. »


    Les paroles de la dame furent notées et enregistrées au poste, le policier et son collègue s’étaient mis d’accord sur la manière d’agir. Le sans-abri et le marchand attendaient tous deux assis face à un bureau. Le marchand proféré des menaces et des injures au sans-abri qui rester serein. Le policier annonça alors :
    « Monsieur Mardinier, vous pouvez partir, aucune charge ne sera retenue contre vous.
    -Merci messieurs. »
    Le sans-abri s’était levé, le marchand lui hurlé :
    « Quoi ! C’est un scandale, cet homme malhonnête me vole et vous ne faites rien ! »
    Le sans-abri s’était retourné et s’approcha du marchand, lui déclarant :
    « Vous avez refusé mon honnêteté, j’ai pris le seul choix qui me rester alors ne me traiter pas d’homme malhonnête, monsieur ! »
    Il s’en alla sur ces mots, le marchand râla alors sur les policiers :
    « Ah bah elle est belle la police, de belle bande d’incapables oui !
    -Monsieur je vous conseille de vous calmer.
    -Me calmer ?! Quand deux abrutis de première ne savent pas arrêter un voleur, bandes d’imbéciles. 
    -Outrage à agent, monsieur veuillez nous suivre. »
    Le policier laissa son collègue emmené le marchand tandis que lui déchira la plainte contre le vol. Le lendemain, monsieur Mardinier se réveilla près de l’église, comme à son habitude. Il vit poser devant lui, quelque chose, enveloppé dans un petit mouchoir, il s’agissait d’une pomme. Il chercha le responsable de cet acte de bonté et lorsqu’il vit au loin un policier qui marchait en sifflotant, il ne chercha plus.

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  • Bonjour tout le monde =)

    Pas de véritables news ce mois-ci si ce n'est que Mercredi 23 Juillet, le blog à atteint son records de visite en une journée avec 158 visites !! Merci beaucoup ^_^

    Après l'apparition des nouvelles est un plus fréquents en ce moment, c'est plutôt une bonne chose mais ce qui est fréquent c'est vos visites, rares sont les jours où il n'y a aucune visite sur le blog, ça me fait très très plaisir merci beaucoup ! *_*

    Voilà, rien de bien spécial, en aout le chapitre 3 de Youth&War sera posté, j'espère que ce petit roman vous plaît, n'hésitez pas à donnez vos impressions c'est toujours utiles !

    je souhaites bonne vacances à ceux qui en ont, bon courages à ceux qui en ont pas et à la prochaine fois ! o/

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  • La meilleure chose que tu puisses voir


    C’est son sourire qui t’est destiné

     

     

     

    La meilleure chose que tu puisses sentir


    Ce sont ses bras occupés de te serrer

     

     

     

    La meilleure que tu puisses entendre


    C’est à quel point elle peut t’aimer

     

     

     

    La meilleure chose que tu puisses vivre


    C’est d’être et de rester à ses côtés

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